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Les conséquences du monoxyde de dihydrogène sur l'environnementEn raison notamment de l'usage général qui en est fait dans l'industrie, le monoxyde de dihydrogène est impliqué chaque année dans de nombreuses atteintes à l'environnement. Bien que la plupart de ces accidents soit inévitable dans l'état actuel des technologies, il ne fait pas de doute que la présence de monoxyde de dihydrogène accroît à chaque fois les dommages à l'environnement.
Parmi les effets les plus souvent cités du monoxyde de dihydrogène sur l'environnement on peut retenir:
Rejets industriels de monoxyde de dihydrogèneMalgré les initiatives récentes visant à interdire les rejets illégaux de produits chimiques dangereux dans les rivières, tant aux États-Unis que dans d'autres pays, les libérations massives de monoxyde de dihydrogène se poursuivent. Les industriels ne peuvent pas être tenus pour seuls responsables, car les législateurs sont peu disposés à promulguer des textes législatifs interdisant la plupart des formes de rejet du monoxyde de dihydrogène. Des raisons peuvent en être des pressions de chefs d'entreprises, de groupes de défense des intérêts de l'industrie, voire de puissances étrangères intéressées. Cette inaction du gouvernement conduisant à l'absence quasi totale de réglementation sur les rejets constitue probablement l'une des effets les plus négligés du monoxyde de dihydrogène sur l'environnement.D'un autre côté, des règles fédérales (EPA) existent qui interdisent les dépôts de monoxyde de dihydrogène dans les décharges, qu'elles soient ou non autorisées à recevoir des substances dangereuses. Ces règles stipulent également que les décharges doivent être curées de toute trace de monoxyde de dihydrogène y apparaissant. Si l'on en juge d'après ces règlements, il apparaît que le gouvernement des États-Unis reconnaît le danger inhérent que le monoxyde de dihydrogène fait peser sur l'environnement, du moins dans certaines circonstances. Le gouvernement des États-Unis refuse d'interdire la production, la distribution et l'usage du monoxyde de dihydrogène. Une telle inaction peut être due à des pressions émanant entre autres d'intérêts privés ou d'économistes soutenus par des groupes industriels qui prédisent qu'une interdiction pourrait avoir des résultats désastreux. Les arguments avancés font état notamment d'atteintes à la santé publique et à la bonne santé des économies des États-Unis et du monde entier. Heureusement, quelques personnalités de l'industrie et de la politique prennent l'initiative d'informer et d'instruire leurs administrés, sans tenir compte de la doctrine officielle que peut avoir le gouvernement des États-Unis. D'importants employeurs, tels que Sandia National Laboratories, un laboratoire national de dispositifs de sécurité dépendant de Sandia Corporation (groupe Lockheed Martin) et agissant pour le compte du département de l'énergie des États-Unis, ont commencé à informer leur personnel du problème du monoxyde de dihydrogène. Avec des efforts tels que ceux consentis par Sandia la prolifération du monoxyde de dihydrogène pourra un jour être réduite. Il est tout aussi encourageant de constater le soutien d'organisations de lutte pour l'environnement, par exemple le Green Party of Aotearoa New Zealand, qui constitue une force importante dans l'hémisphère Sud en faveur de «la sagesse écologique, la responsabilité sociale, la prise de décisions appropriées et la non violence». En particulier, un parlementaire local aussi actif qu'influent y est favorable à l'interdiction du monoxyde de dihydrogène. Ce soutien bienvenu rappelle à un monde préoccupé combien il est crucial d'encourager la plus large diffusion de connaissances à ce sujet. Copyright © by Tom Way |